La forêt

LA FORÊT

La forêt landaise, un environnement d’exception …

A Garein, on ne parle pas la langue bois. Ici, chacun a son mot à dire sur la forêt ! A la fois lieu de vie, de détente, de travail, la forêt est devenue une véritable source d’inspiration : Centre de découverte Graine de Forêt, œuvres contemporaines de la Forêt d’art Contemporain qui interpellent le visiteur, un éco-hameau … Allez-y et touchez du bois !

Le Pouy de la Houn

Garein- lagunes du piat  et lande rase entretenue (5) web
Garein- lagunes du piat et lande rase entretenue (5) web (PNRLG)

Non loin de là, le ruisseau du Geloux qui traverse la commune prend sa source. Cette source se trouvait au pied d’une dune entre Garein et Vert. Un bâti carré en rondins de pin entrecroisés la protégeait, il fut détruit lors des travaux d’aménagement du ruisseau en 1968. « Pouy » en gascon signifie hauteur ou dune. Même si le relief garinois semble plat, il n’en est pas ainsi, beaucoup de lieux dits « Pouy du tern », « Pouy court », « Puy de la belle » rappellent la présence de dunes continentales sur ce paysage.

Sculpture « Le lit transcendantal »

Lit transcendental Garein
Lit transcendental Garein (© KR PNRLG)

Un impressionnant enchevêtrement de poutres de pins toutes imbriquées les unes dans les autres. Vous êtes invité à entrer dans son cœur pour vous poser et pour y laisser aller votre imagination. C’est une œuvre de la plasticienne Claire Roudenko-Bertin réalisée au centre Georges Pompidou en 1995. Elle pense ses œuvres en fonction des éléments qui l’entourent, il lui fallait donc trouver un lieu dans la forêt landaise et sur un sol sableux pour que cette pièce reprenne vie et c’est naturellement que la commune de Garein l’a accueillie.

Sculpture « Aux impétueuses manœuvres de l’imprévu ».

Fac Garein
Fac Garein (© PNRLG)

Là, en plein cœur de la forêt un objet tout droit sorti du monde des géants. Qu’est-ce donc ? « Aux impétueuses manœuvres de l’imprévu », c’est ainsi qu’Alain Domagala, sculpteur, a choisi de nommer son œuvre. « Une table en bois surdimensionnée est couchée sur le flanc. Sa position et ses dimensions monumentales confèrent à cet objet des qualités et des usages bien différents. Dressée, elle devient rempart. J’aime l’idée qu’on puisse aborder cette sculpture en étant confronté à cette face qui ressemble à une grande palissade. » Alain Domagala.